The formal private sector in Lesotho concentrates on housing at the very top of the market leaving the majority unserved by formal housing supply. As in other countries in Sub-Saharan Africa, the great majority of housing in Lesotho is built by people themselves incrementally and sometimes in partnerships with small contractors.The Profile argues that policy interventions should focus on facilitating access to better services and self-construction to enable it to be more efficient without raising its cost.
Similarly, housing built with local materials and labour-intensive technologies has a great potential for building the economic growth looked for in Lesotho's Vision 2020.The Lesotho Housing Profile offers a comprehensive in-depth analysis of the country's urban housing sector. The Profile contributes to the creation of a policy framework that enables provision of adequate housing for all Basotho. It builds a comprehensive understanding of the functioning of the urban housing sector that can serve as an authoritative reference point for all actors involved in the direct provision or enablement of housing in Lesotho.
Le Burundi est un petit pays sans littoral situé au centreest de l’Afrique entre le Rwanda au nord, la Tanzanie à l’est et au sud et enfin la République démocratique du Congo à l’ouest et au sud-ouest. Il couvre une superficie de 27 834 km2. Essentiellement rural, le pays vit de l’agriculture. Le Burundi est l’un des pays les plus pauvres de l’Afrique Sub-saharienne avec un revenu par habitant de 109 US$ en 2006.
Le taux d’urbanisation reste un des plus faibles de la planète. L’habitat y est dispersé, ce qui rend difficile pour la population l’accès aux services urbains de base. Cependant, avec une population estimée à 8 053 574 habitants en 2008, le Burundi est un des pays les plus densément peuplés d’Afrique.
La commune de Ngozi est située à l’ouest de la province Ngozi au nord du Burundi. elle est semi-urbanisée avec une population urbaine qui s’élève à 39 884 habitants et une population rurale réunissant 80 673 personnes.
Cette population est répartie sur une superficie de 184,46 km2, soit une densité moyenne de 582 habitants par kilomètre carré.
Bujumbura, capitale de la république du Burundi, est située à l’ouest du pays au bord du lac Tanganyika. elle est traversée par une série de rivières formant un ensemble de lignes primaires de grande section qui se dirigent d’est en ouest, des collines vers le lac Tanganyika.
La commune de Rutana s’étend sur une superficie de 255,31 km2, soit 13 % de la superficie de la province et 0,91 % de celle du pays. Son chef-lieu est la ville de Rutana, également chef-lieu de la province. La commune de Rutana est subdivisée en 2 zones (Rutana et Gitaba) composées de 38 collines de recensement.
La population était estimée à 54 121 habitants en 2008. elle est composée en majorité par des jeunes de moins de quinze ans. Le taux de croissance annuel moyen durant les vingt dernières années a été de 2,74 %. La population urbaine est estimée à 5 865 habitants, soit 10,6 % de la population de la commune.
La croissance démographique rapide du Burkina Faso, et surtout l’extension démesurée des villes, ont de lourdes répercussions sur l’environnement de ce pays enclavé. La prolifération de l’habitat spontané est un fait établi, ainsi que sa persistance et ce, malgré les actions entreprises par l’État depuis les années 1980. Ce phénomène est la conjugaison de plusieurs facteurs: la pauvreté des populations; le coût élevé de la mise en valeur des parcelles, l’impossibilité d’accéder aux services urbains de base (électricité, eau courante, assainissement), tout ceci entraînant les populations à se retrouver dans les zones informelles.
L’insuffisance de l’offre en matière de logements ainsi que la capacité d’accueil des villes sont également en deçà des besoins réels des populations. Sur le plan politique, le gouvernement a réaffirmé sa politique de décentralisation. On assiste aujourd’hui à l’émergence de collectivités territoriales disposant désormais de compétences en matière d’aménagement et de gestion urbaine, renforçant l’influence des acteurs de la société civile et privée dans la gestion urbaine.
Les villes camerounaises, particulièrement les plus grandes d’entre elles, sont confrontées à de nombreuses difficultés liées à la prolifération de l’habitat spontané, à l’insalubrité, à l’enclavement de certains quartiers sous intégrés, à l’insécurité, au chômage et à la montée du grand banditisme. Au rythme actuel d’urbanisation (5% de croissance en moyenne annuelle), près de 60 % de la population camerounaise vivront dans les villes à l’horizon de 2015.
Actuellement, 67% de la population urbaine du Cameroun vivent dans des bidonvilles. Il faut aussi savoir que dans les villes du Cameroun, plus de 80% des transactions foncières sont réalisées de manière informelle. Les populations pauvres qui habitent dans les quartiers spontanés ont créé des circuits de construction directs et économiques. L’insuffisance de l’offre des services de base est l’un des principaux constats qui a été faits lors des consultations réalisées dans les villes du Cameroun.
Ce problème est beaucoup plus accentué dans les quartiers à habitat spontané. Dans l’ensemble des villes du Cameroun, 86,2% des ménages ont accès à l’eau potable, cette proportion atteint 71,5% pour les ménages urbains qui vivent dans les zones d’habitat spontané.
Petite ville côtière du Cameroun, Kribi est située à la croisée de trois importantes routes nationales (P-8, N-7 et N-17). Dotée d’une population totale de plus de 60,000 habitants et située dans un lieu privilégié, elle dispose donc d’atouts important au niveau économique tel le tourisme et l’existence d’un port maritime bien positionné.
L’une des priorités identifiée dans ce document consiste à réaliser dans les quartiers à habitat spontané de Kribi de grandes trames pouvant faciliter la circulation et permettre aux populations d’améliorer leurs logements. Le renforcement des capacités des filles et des femmes constitue aussi une priorité bien ciblée par les élus locaux et la population, qui ont activement collaboré à la réalisation de ce profil urbain.
A elaboração do presente documento – Perfil Urbano da Cidade da Praia-, inscreve-se no quadro das acções desencadeadas pela ONU- HABITAT através do Gabinete Regional para a África (BRA).
Constitui objecto desta iniciativa a dotação da capital do país de um instrumento referencial participativo de intervenção urbana, baseado num diagnóstico rápido e transversal da situação urbana prevalecente que aponta, não só, os resultados e progressos alcançados no processo de promoção e desenvolvimento socioeconómico da cidade, como ainda, apresenta um conjunto de fichas de projectos cujas acções possam contribuir para a melhoria das capacidades institucionais de gestão da oferta de respostas ajustadas às reais e manifestas insuficiências emergentes do diagnóstico.
O estudo que ora se apresenta retrata o Perfil Urbano da Cidade de Pedra Badejo e tem como finalidade contribuir para a promoção de políticas de desenvolvimento urbano, permitindo que os residentes da urbe possam viver num ambiente urbano devidamente planeado, organizado e gerível. A então Vila de Pedra Badejo, sede do Concelho, agora Cidade, fica situada na Ilha de Santiago, mais concretamente no Concelho de Santa Cruz.
Ela nasceu como o resultado de um processo progessivo de fixação de pessoas de forma espontânea, atraídas pelo mar e vales férteis para a agricultura. Assim, começou a construção das primeiras casas que depois acabaram por ganhar corpo de Vila, fruto de actividades como a pesca, o pequeno comércio, a agricultura e as dinâmicas desenvolvidas até ao momento.
A partir da década de 90 surgiram as primeiras preocupações no sentido de planificar o crescimento e desenvolvimento urbanos. Desenvolveram-se alguns planos de desenvolvimento urbano, e hoje está-se perante o Plano do Desenvolvimento Municipal (PDM) do Concelho.