O objectivo do presente Perfil do Sector Urbano é contribuir para o desenvolvimento da política de redução da pobreza urbana a nível nacional em Cabo Verde. Enquadra-se no programa da ONU- Habitat de cooperação com o Ministério do Ambiente, Habitação e Ordenamento do Território, MAHOT. Ele é realizado mediante uma avaliação das necessidades e dos mecanismos de resposta no quadro de uma contribuição à implementação dos Objectivos do Desenvolvimento do Milénio (ODM).

A política será orientada para apoiar as actividades compreendendo o reforço das capacidades, o plaidoyer, a gestão do saber assim como as actividades operacionais. A abordagem baseia-se nos TDR estandardizados do Perfil do Sector Urbano desenvolvidos pela Comissão Europeia (CE) e já implementadas pela ONU HABITAT em outros países. Além disso, uma análise e uma consulta nacional serão realizadas para buscar um consenso sobre os temas e as questões nacionais e sobre os mecanismos de respostas.

Treichville est l’une des 13 communes du district d’Abidjan. Elle est située au sud de la ville et s’étend sur une superficie de 900 hectares. Limitée à l’est par les communes de Marcory et de Koumassi, au nord par celles du Plateau et de Cocody, au sud par la commune de Port-Bouët et à l’ouest par la lagune Ébrié, la commune de Treichville a un relief plat.

Le climat correspond au climat subéquatorial de la ville d’Abidjan. Les températures sont comprises entre 21 °C et 32 °C, le taux d’humidité est très élevé (de 80 % à 90 %) et les précipitations sont abondantes.

Port-Bouët porte le nom du commandant Bouët Villaumez qui, en 1837, fut chargé par le roi de France, Louis Philippe, de signer des traités de commerce et de protection avec des chefs côtiers. C’est vers 1930 que cette localité commença à être habitée. Cette époque est marquée par la construction du Wharf qui constitue alors une zone d’activités commerciales très importante. La deuxième étape du développement de cette commune est liée à la création du port d’Abidjan, en 1950.

Usines et entrepôts se multiplièrent ensuite à Vridi qui devint la principale zone d’emplois d’Abidjan. La commune de Port- Bouët abrite également l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny, faisant d’elle la porte d’entrée de la Côte d’Ivoire par excellence. Port-Bouët devient une commune à la faveur du vaste projet de communalisation initié par l’État ivoirien en 1980. Sa population était estimée à 302 000 habitants en 2010.

La commune de Boundiali est le chef-lieu du département de Boundiali. elle est située dans la région des Savanes. Aucun fleuve ni cours d’eau d’importance ne traverse la commune. Le sénoufo est la langue parlée par tous, mais la langue du commerce est le malinké. Boundiali réunit une population de 39 965 habitants selon le district sanitaire de Boundiali.

Selon le recensement général de la population et de l’habitat de 1998, le taux de croissance annuelle du département est de l’ordre de 2,3 %. il demeure l’un des taux les plus faibles du pays car inférieur à la moyenne nationale (3,3 %). La part de la population de Boundiali par rapport à la population totale du pays est de 1,2 %. Le temps de dédoublement de la population est de trente et un ans. Le rapport de masculinité est de 103,4, selon l’enquête sur le niveau de vie des ménages de 2008, soit 103 hommes pour 100 femmes.

Pointe-Noire est une ville de la République du Congo située au centre-ouest de l'Afrique sur la façade atlantique. Du fait de l'activité pétrolière et de son port en eau profonde, elle peut être considérée comme le poumon économique du pays.

La ville s’étend sur des terrains peu élevés, sa superficie actuelle est estimée à 114 400 ha. La ville est constituée d’une série de petits plateaux séparés les uns des autres par de larges zones insalubres, ce qui crée de graves problèmes d’assainissement et de communication. 

La population de la municipalité de Pointe-Noire est de 1 100 000 habitants, répartis sur 4 communes. La ville compte 48 % d'habitants de moins de vingt ans et 33 % de chômeurs. La langue la plus parlée est le kikongo suivie du français, langue officielle du pays.

Urban Profiling is an assessment of needs and capacity building gaps at the city level. It is currently being implemented in over 20 countries in Africa and the Arab States. Urban Profiling uses a structured approach where priority interventions are agreed upon through consultative processes.

The Urban Profiling methodology consists of three phases

(1) A rapid participatory urban profiling, at national and local levels, focusing on Governance, Slums, Gender and HIV/AIDS , Environment, and proposed interventions

(2) Detailed priority proposals

(3) project implementation. RUSPS in Eritrea encompasses a national profile, and a single profile for the cities of Asmara, Massawa and Mendefera. This national report constitutes a general background, a synthesis of the four themes, Governance, Slums, Gender and HIV/AIDS , and Environment, and priority project proposals, both at national and city levels.

In Ethiopia, the profiling was undertaken under the leadership of national and local authorities. This initiative has been carried out locally in Addis Ababa, Dire Dawa and Ambo, as well as nationally. The Ethiopia National Profile focuses on the findings of a desk-study, interviews with key actors, and country-wide consultations with key urban actors and institutions.

Consultation participants agreed to address the salient urban issues including poverty, insecurity, corruption, pollution and crime - all problems that negatively affect investments and economic development. A consensus was reached on priority interventions in the form of programme and project proposals to be implemented.

In Ethiopia, the profiling was undertaken under the leadership of national and local authorities. This initiative has been carried out locally in Addis Ababa, Dire Dawa and Ambo, as well as nationally. The Ethiopia National Profile focuses on the findings of a desk-study, interviews with key actors, and country-wide consultations with key urban actors and institutions.

Consultation participants agreed to address the salient urban issues including poverty, insecurity, corruption, pollution and crime - all problems that negatively affect investments and economic development. A consensus was reached on priority interventions in the form of programme and project proposals to be implemented.

The Lautoka Urban Profiling consists of an accelerated, action-oriented assessment of urban conditions, focusing on priority needs, capacity gaps, and existing institutional responses at local and national levels. The purpose of the study is to develop urban poverty reduction policies at local, national, and regional levels, through an assessment of needs and response mechanisms, and as a contribution to the wider-ranging implementation of the Millennium Development Goals.

The study is based on analysis of existing data and a series of interviews with all relevant urban stakeholders, including local communities and institutions, civil society, the private sector, development partners, academics, and others. The consultation typically results in a collective agreement on priorities and their development into proposed capacity-building and other projects that are all aimed at urban poverty reduction.

The urban population in The Gambia stood at 53 percent of the total population in 2003. Increasing urbanization is causing stress on social services provided in urban areas with consequences of rising urban poverty. The Greater Banjul Area has the worst-case scenario - Banjul and its surroundings, the Kombos, constitute about 51 percent of the total population of the country. This high concentration of the population in this area has implications on poverty, particularly the growing incidence of urban poverty.

Rapid increase in urban population has been one of the major problems faced by The Gambia. In addition to loss of arable land in the Kombos, the rapid increase in urban population has brought with it several environmental and socio-economic problems including deforestation, soil erosion, pollution and waste generation, and stress on health, education, and employment services (Poverty Reduction Strategy Paper (2007-2011) The Gambia).