Mzuzu City, with a population of 133,968 and growing at 4.2 percent per annum, is one of the fastest growing cities in Malawi and is the third largest urban centre after Lilongwe and Blantyre. It is the hub of government administration, business, industry, commerce, and services for the northern region of Malawi, and it serves a hinterland with a population of 1,708,930.
Originating from a Tung Oil Estate in 1947, the city has grown from 23km² to 143.8 km² in 2008 and was declared a city in 1985.However, the city lacks adequate infrastructure and services. Over 60 percent of the population lives in unplanned settlements.
The city does not have adequate policies and regulations to support orderly and planned growth.Improvement and expansion of service delivery, proper urban planning and good financial management are crucial for the development of the city.
Blantyre City is the oldest urban centre in Malawi, established by the Scottish Missionaries in the 1870s and declared a planning area in 1897. It is the hub for communication, commercial activities and cooperation in Malawi. The influence of Blantyre declined when Lilongwe became the capital city in 1975. However, it has maintained its grip as the commercial capital of Malawi.
The city offers a number of economic opportunities but lacks resources to meaningfully implement its strategies and provide the required basic social infrastructure and urban services required for economic development to take place. Over 65 percent of the city’s population lives in informal settlements which occupy about 23 percent of the land in Blanytre. Poverty stands at 24 percent while unemployment stands at 8 percent.
Improved governance, revenue collection and management capacity are seen as major factors needed for reducing poverty in the city. The establishment of a development coordinating committee (DCC) is vital for encouraging participation and city management. Policies must be formulated and implemented to address the existing shortfalls and such policies should be pro-poor.Improvement and expansion of service delivery, planning capacity and financial management is a necessity. All in all, the leadership of Blantyre should embrace good governance through principles of sustainability, subsidiarity, equity, transparency and accountability, civic engagement and citizenship, and security.
Lilongwe, the largest city in Malawi, became the capital and administrative City of Malawi in 1975 after relocating from Zomba. Lilongwe has witnessed a high urbanization rate ever since, accelerated by the relocation of all government head offices from Blantyre to Lilongwe from 2005. The city is divided into four sectors (Old Town, Capital Hill, Kanengo, and Lumbadzi). Lilongwe is situated at the centre of a large agricultural area and there are many economic activities taking place in the city.
However, Lilongwe lacks the necessary financial resources to implement significant development plans and provide the required basic infrastructure and urban services needed for economic development to take place. Lilongwe’s major industry is tobacco processing. Approximately 76 percent of the city’s population lives in informal settlements.
Poverty stands at about 25 percent with unemployment at 16 percent. Improved governance, revenue collection, management capacity, and understanding of the city’s competitive advantages are seen as major factors to address the current development challenges faced in Lilongwe.
Urbanization has improved the standard of living of many people in the Solomon Islands as it often brings in greater wealth and economic opportunities for the national population. However, unless these opportunities are properly managed through balanced growth development policies, it can lead to an increase in socio-economic inequality, a rise in urban poverty and the growth of informal settlements poorly served with basic services.
In recognition of the need to better respond to these challenges, the Ministry of Lands, Housing and Survey has requested for UN-HABITAT support to undertake Urban Profiling in the Solomon Islands. The Urban Profiling embraces a set of actions taken to assess the standard of existing urban services in order to identity development needs, capacity issues and to agree on priorities at national and local levels through a participatory approach. It has been implemented in more than 20 countries in Africa, the Caribbean and three Pacific island countries under the Participatory Settlement Upgrading Programme (PSUP).
Lorsque le commandant français, Protet, faisait hisser le drapeau français sur Dakar le 25 mai 1857, la future grande ville située sur l’extrémité occidentale du Sénégal, en bordure de l’Océan Atlantique, n’était qu’un petit village Lébou.
Mais sa position géographique privilégiée, son rayonnement de ville carrefour (entre l’Afrique, l’Europe et l’Amérique) ainsi que certains événements survenus au cours de son développement urbain (capitale de l’AOF) feront de Dakar un grand centre qui impose dès lors son influence et sa polarisation sur le plan national et international.
Le but ultime du Profil du Secteur Urbain est de contribuer au développement de la politique de réduction de la pauvreté urbaine aux niveaux local, national et régional en Afrique et dans les Pays Arabes. Il s’agit ici d’évaluer les besoins et les mécanismes de réponse et ce, en gardant toujours à l’esprit les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD).
Notre politique consiste à soutenir des activités telles que le renforcement des capacités (formation des cadres dans l’administration; attribution de matériel, conseil en organisation), des programmes de développement visant à faciliter l’accès à un habitat décents et aux services urbains de base pour les plus démunies et de promouvoir une législation en faveur de l’équité entre les sexes et d’un plus grand respect de l’environnement.
L’approche est basée sur les TDR standards développés par la Commission européenne (CE) et déjà mis en oeuvre par ONU HABITAT en Somalie.
Le but ultime du Profil du Secteur Urbain est de contribuer au développement de la politique de réduction de la pauvreté urbaine aux niveaux lo-cal, national et régional en Afrique et dans les Pays Arabes. Il s’agit ici d’évaluer les besoins et les mécanismes de réponse appropriés et ce, en gardant toujours à l’esprit les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD).
Notre politique consiste à soutenir des activités telles que le renforce-ment des capacités (formation des cadres dans l’administration; attribution de matériel, conseils en organisation), des programmes de développe-ment visant à faciliter l’accès à un habitat décent et aux services urbains de base pour les plus démunis et de promouvoir une législation en faveur de l’équité entre les sexes et d’un plus grand respect de l’environnement.
Le Sénégal est situé entre 12° et 16 °30 de latitude nord et 11°30 et 17°30 de longitude ouest, sur une superficie de 196 712 km², à l’avancée la plus occidentale du continent africain dans l’océan Atlantique, au confluent de l’Europe, de l’Afrique et des Amériques, et à un carrefour de grandes routes maritimes et aériennes.
Il est bordé au nord par la Mauritanie, à l’est par le Mali, au sud par la Guinée Bissau et la Guinée Conakry et à l’ouest par l’océan Atlantique sur une façade de 700 km. La Gambie située entre les régions de Kaolack et de Ziguinchor, forme une enclave sur le cours inférieur du fleuve du même nom.
Le but du profil régional du secteur urbain est de contribuer à l’élaboration et à l’exécution de la stratégie de réduction de la pauvreté en milieu urbain aux niveaux local, national et sous-régional. Au Cameroun, le profil national est établi à partir du profil de trois villes que sont : Bamenda, Kribi et Yaoundé.
Les actuelles frontières du Cameroun résultent des vicissitudes de la conquête coloniale et des rivalités entre l’Allemagne, l’Angleterre et la France ; aussi, ce pays estil composé de régions très diverses et de populations très différentes. S’étendant du 2e au 13e parallèle nord, sur une superficie de 475 442 kilomètres carrés, le Cameroun offre des paysages très variés.
À l’ouest, une chaîne de montagnes, dominée par le mont Cameroun, volcan de 4 070 m, s’étend presque jusqu’au Tchad avec d’extraordinaires reliefs volcaniques ; au nord, de vastes plaines, traversées ou bordées par la Bénoué et le Logone, touchent aux marécages du lac Tchad ; le Centre est un vaste plateau de 800 à 1 500 m d’altitude, propice à l’élevage ; le Sud est constitué par un système complexe de longues plaines ou de collines en partie recouvertes par la grande forêt, presque déserte au sudest ; quant aux rivages du Sud-Ouest, ils sont plats, sablonneux, souvent marécageux.