Cette publication, Guide du maître d’ouvrage les registres fonciers urbains (RFU) propose des suggestions concrètes pour développer et mettre en oeuvre un système d’information foncière urbaine. Basées sur des leçons apprises dans le contexte des communes du Benin, le Guide démontre comment les autorités communales peuvent mobiliser les recettes fiscales à travers le foncier.
Le Guide présente comment les autres composantes du système RFU, encore moins exploitées dans le cas du Benin, peuvent être mieux mises en oeuvre afin de mettre à la disposition des municipalités un système d’information foncière qui contribue au renforcement de la sécurité des droits fonciers des populations urbaines.
Cette publication, Mobilisation des ressources financières locales: documentation des registres fonciers urbains des communes du Benin, retrace le parcours des Registres Fonciers Urbains (RFU) tels qu’expérimentés dans les communes béninoises depuis plus de deux décennies. Ce document constitue une contribution majeure à la connaissance des RFU.
Il ressort de cette publication que les RFU mis en place dans presque 20 communes au Benin ont prouvé leur valeur et leur popularité dans leur capacité à mobiliser les ressources financières nécessaires au meilleur fonctionnement des communes. Néanmoins, à la suite d’un diagnostic détaillé, il est souligné que le plein potentiel du RFU reste largement sous-exploité par les communes béninoises.
Cap-Haïtien est une ville côtière située au nord d’Haïti. C’est la deuxième ville du pays après Port-au-Prince, la capitale. Elle s’étend sur une superficie de 53,5 km2. La commune est peuplée de 249 541 habitants (recensement par estimation de 2009), dont 155 505 habitants pour la ville elle-même. La ville est très densément peuplée et ne peut pas s’étendre car elle est enclose par la mer et la montagne du Morne Jean, qui culmine à 718 m d'altitude.
Elle vit principalement du tourisme grâce à la station balnéaire de Labadie située à proximité. Le système éducatif haïtien, hormis le niveau supérieur, totalise treize ans de scolarité. Les six premières années d’études sont obligatoires d’après l’article 32-3 de la Constitution haïtienne.
En tenant compte du taux net de scolarisation, on note qu’en dépit des efforts effectués l’accès à l’éducation de base se révèle certes en cours d’amélioration, mais globalement insuffisant sur l’ensemble du pays. En tant que chef-lieu départemental, Cap-Haïtien est privilégié en ce qui concerne les services de santé.
Pendant l’atelier, les participants ont partagé leurs propres défis et expériences d’amélioration de l’accès des pauvres et autres population vulnérables à la sécurité de la tenure et aux ressources naturelles.
La rencontre a aussi permis de discuter les bonnes pratiques, méthodes et outils existants ainsi que leurs applications dans des contextes spécifiques.Les participants ont identifié les opportunités de magnifier et de partager les leçons apprises à une échelle plus grande. Il a été aussi question de partager les méthodes et outils et renforcer les cadres de dialogues.
En anglais
Pointe-noire est une ville de la République du congo située au centre-ouest de l’Afrique sur la façade atlantique. du fait de l’activité pétrolière et de son port en eau profonde, elle peut être considérée comme le poumon économique du pays. la ville s’étend sur des terrains peu élevés, sa superficie actuelle est estimée à 114 400 ha.
La ville est constituée d’une série de petits plateaux séparés les uns des autres par de larges zones insalubres, ce qui crée de graves problèmes d’assainissement et de communication. la population de la municipalité de pointe-noire est de 1 100 000 habitants, répartis sur 4 communes. la ville compte 48 % d’habitants de moins de vingt ans et 33 % de chômeurs. la langue la plus parlée est le kikongo suivie du français, langue officielle du pays.
Le profilage urbain consiste en une évaluation rapide des conditions de vie urbaine, afin de définir les actions à mener, en identifiant les besoins prioritaires, sur le renforcement des capacités nécessaire et sur les réponses institutionnelles possibles aux niveaux local et national. Le but de cette étude est de développer les politiques de réduction de la pauvreté urbaine aux niveaux local, régional et national, à travers une évaluation des besoins et des mécanismes de réponse, et de contribuer à la mise en oeuvre à grande échelle des Objectifs du millénaire pour le développement.
L'étude est basée sur l'analyse des données existantes et sur une série d'entretiens avec toutes les parties prenantes, y compris les communautés et les institutions locales, la société civile, le secteur privé, les partenaires au développement, les universitaires, etc. La consultation aboutit généralement à un accord commun sur les priorités et sur leur développement à travers des campagnes de renforcement des capacités et d'autres projets visant tous, à la réduction de la pauvreté urbaine.
Ce profilage urbain est mis en oeuvre dans 30 pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique, offrant la possibilité de faire une analyse comparative entre ces différents pays. Une fois terminée, cette série d'études pourra servir de base de réflexion aux autorités centrales et locales, aux acteurs urbains, ainsi qu’aux bailleurs de fonds et aux agences d’aides extérieures.
Le profilage urbain consiste en une évaluation rapide des conditions de vie urbaine, afin de définir les actions à mener, en identifiant les besoins prioritaires, sur le renforcement des capacités nécessaire et sur les réponses institutionnelles possibles aux niveaux local et national. Le but de cette étude est de développer les politiques de réduction de la pauvreté urbaine aux niveaux local, régional et national, à travers une évaluation des besoins et des mécanismes de réponse, et de contribuer à la mise en oeuvre à grande échelle des Objectifs du millénaire pour le développement.
L'étude est basée sur l'analyse des données existantes et sur une série d'entretiens avec toutes les parties prenantes, y compris les communautés et les institutions locales, la société civile, le secteur privé, les partenaires au développement, les universitaires, etc. La consultation aboutit généralement à un accord commun sur les priorités et sur leur développement à travers des campagnes de renforcement des capacités et d'autres projets visant tous, à la réduction de la pauvreté urbaine.
Ce profilage urbain est mis en oeuvre dans 30 pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique, offrant la possibilité de faire une analyse comparative entre ces différents pays. Une fois terminée, cette série d'études pourra servir de base de réflexion aux autorités centrales et locales, aux acteurs urbains, ainsi qu’aux bailleurs de fonds et aux agences d’aides extérieures.
Ce rapport présente les réalisations d'ONU-HABITAT pour l'année 2010. Celles-ci concernent l'ensemble des domaines d'activités de l'Agence, tant opérationnels que normatifs, pouvant aller des questions post-conflits à la gestion des catastrophes ou encore la planification urbaine et l'adaptation au changement climatique.
Le présent rapport analyse les liens entre l'urbanisation et le changement climatique, les effets potentiellement dévastateurs du changement climatique sur les populations urbaines et les nouvelles pratiques et stratégies politiques adoptées dans les centres urbains. Plus de la moitié de la population mondiale vit désormais en zone urbaine et la convergence de l'urbanisation et du changement climatique menace d'avoir un impact sans précédent sur les économies, la qualité de vie et la stabilité sociale des pays. Néanmoins, cette menace apporte avec elle également un ensemble d'opportunités. La concentration des populations, des industries et des infrastructures mais aussi des activités sociales et culturelles constitue un facteur propice à l'innovation (pour mettre au point des solutions de réduction des émissions de gaz à effet de serre, pour optimiser les mécanismes de réponse au changement climatique et pour atténuer la vulnérabilité des populations face au changement climatique).
Le budget participatif apparaît de plus en plus comme une rénovation des pratiques d’administration municipale propre à promouvoir les principes de bonne gouvernance urbaine. De fait, le budget participatif peut procurer bien des avantages aux autorités locales comme à la société civile.
Il peut rendre les dépenses municipales plus transparentes et stimuler la participation des citoyens à la prise de décisions relatives aux ressources publiques. Il peut améliorer les recettes fiscales des municipalités.
Il aussi peut réorienter les investissements municipaux vers les infrastructures de base en faveur des quartiers défavorisés. Il peut enfin renforcer les réseaux sociaux et aider à aplanir lesdivergences de vue entre les dirigeants élus et les différentes composantes de la société civile.