La misère est le lot d’une grande partie de l’humanité. Un sur cinq d’entre nous tous vit dans un taudis. La moitié d’entre nous manquent de sanitaires de base. Les États du monde entier ont consacré les droits universels à un logement et à des conditions de vie décents.
Pourtant ils sont de plus en plus nombreux, ceux qui ne parviennent à passer que de la misère des campagnes à celle des villes. La raison en est que les cadres institutionnels leur refusent les aspirations et les perspectives auxquelles ils ont pourtant droit.